dimanche 13 mai 2007

Foot Ball, un PANGUERE qui fait parler de lui















18ans : victoire sans la manière le 04/03/2007
A Besançon : Le Besançon RC bat le Clemenceau 3 - 1 (2-1)

12eme journée du Championnat Honneur de Franche Comté des 18ans :
Clemenceau – Besançon RC.

Lieu : Besançon (25)
Stade : Malcombe 4.

Temps : Printanier – Environ 19°C.
Pelouse : Synthétique

Environ 200 spectateurs

Arbitres : M. Brobeck assisté de MM. Kechidi et Gle.
Mi-temps : 1 - 2

Buts : Clemenceau : Lorenzini (7eme)Besançon RC : Di Pinto (8eme), Djehiche (34eme), Morouço (75eme)
Les équipes :Clemenceau : Faye – Bessard, Guerbas, Panguere Lebrun Lorenzo Jerry, Pesenti – Mivelle, M’Roumana (cap), Pechin, Zumberi – Lorenzini, Gonzales.Remplaçants : Daga, Djemmal, Ducret.

Besançon RC : Methot – Bama, Besnard, Chenevois, Mauffray – Di Pinto (cap), Florin, Morouço, Pruneau – Chaon, Djehiche
Remplaçants : Boisson, Bruet, Sid.

Résumé du match :Dans un match très loin d’être emballant, les Racingmen assurent l’essentiel avec un succès dans le derby face au Clemenceau. On ne retiendra que cela !Forts de leur magnifique victoire face au rival sochalien la semaine dernière, les joueurs de Fred Parise étaient attendus au tournant à l’occasion du derby bisontin face au Clemenceau, à la peine au classement.Mais en dépit d’une première banderille plantée par Di Pinto, qui reprit au-dessus un centre de Morouço (3eme), ce fut l’équipe du président Renard qui fit sensation en ouvrant la marque. En contre-attaque, Bessard lançait ainsi Lorenzini qui enroulait parfaitement sa frappe sur le côté gauche de la surface de réparation pour trouver la lucarne opposée : 1 – 0 (7eme). Une ouverture du score limpide qui ne fut toutefois savourée que quelques secondes. Sur l’engagement, et après une faute défensive grossière du Clemenceau, le toujours très précieux Di Pinto reprit, à bout portant, victorieusement un centre de Florin : 1 – 1 (8eme). Malgré cette égalisation, le coach des « Rouges » pestait contre le manque d’enthousiasme de ses garçons. La suite lui donnait d’ailleurs raison puisque sur un corner, Lorenzini fut mis en échec par Methot auteur d’un arrêt réflexe en deux temps (15eme). Ecrire que les débuts furent poussifs dans cette rencontre brouillonne relevait allégrement de l’euphémisme et Fred Parise commençait à sérieusement s’agacer sur son banc de touche. Bien lancé en profondeur, le remuant Djehiche prenait bien sa chance à l’entrée de la surface de réparation mais sa frappe passait de peu à côté (29eme). Très moyens dans le jeu, les Racingmen firent cependant la différence sur une phase arrêtée avec un corner parfaitement coupé de la tête, au premier poteau, par Djehiche : 1 – 2 (34eme). Ce ne fut finalement pas malheureux d’autant que ce premier acte, très pauvre au niveau de sa fluidité, se termina sur un coup franc, côté droit, très dangereux de Bessard qui passait d’un rien à côté (45eme).Morouço clôt les débatsTrès remués aux vestiaires, les partenaires de Victor Di Pinto entamèrent bien mieux ce deuxième acte. Morouço, très présent, décalait ainsi parfaitement Chaon qui reprenait malheureusement au-dessus (50eme). Les joueurs du Clemenceau avaient désormais littéralement perdu la possession du ballon, ce dont profitaient les Racingmen avec un centre lointain de Chaon pour un enchaînement limpide de Di Pinto seulement stoppé par une parade de Faye (60eme). Mais les vingt-deux acteurs retombèrent dans leurs travers avec beaucoup de maladresses de part et d’autre. Chaon essayait bien de réveiller ses copains sur une frappe aux vingt mètres, mais la tentative passait de peu à côté (68eme). Auteur d’une très bonne entrée en jeu, Sid lançait parfaitement Chaon qui manqua d’adresse dans le geste final face à Faye, qui repoussait également la frappe de Sid (73eme). Au bord de la rupture, les joueurs de Philippe Thiard lâchaient définitivement lorsque Morouço reprit victorieusement, de la tête, un bon centre de Boisson : 1 – 3 (75eme).Une juste récompense pour le milieu de terrain bisontin dont le volume de jeu avait été très précieux du début à la fin. Si la victoire était évidemment impérative aujourd’hui pour rester à la deuxième place, synonyme de barrages en fin de saison, il faudra toutefois revoir la copie afin de présenter un visage plus séduisant dans les prochaines échéances. Maxime Chevrier.
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