mardi 21 août 2007

UNIVERSITE DE BANGUI






IUGE : LES ETUDIANTS EN EBULITION


Les examens de fin d'année à l'université de Bangui ainsi que dans les établissements connexes marquent une étape importante non seulement dans le cursus des étudiants mais aussi et surtout pour leur avenir. Ces examens ne sont pas souvent organisés avec succès au sein de tous les établissements. Souvent, l'organisation et le déroulement de ces examens sont toujours matière à réflexion.
C'est ainsi qu'à l'Institut Universitaire de Gestion des Entreprises (IUGE), après la première session, un seul étudiant sur les 26 est déclaré admis. Les 25 autres sont autorisés à aller en 2e session, à l'issue du conseil de discipline de l'établissement.
Selon l'administration de l'IUGE, il n'y a eu qu'un admis sur les 26 étudiants à l'issue de la première session parce que ceux-ci avaient refusé de composer dans deux matières. Et donc, la décision du conseil de discipline n'a fait qu'appliquer l'article 13 du règlement intérieur de l'université.
Or, pendant la première session 2007, trois matières sont programmées dans une seule journée. Pour ce faire, les étudiants ont demandé à l'administration de différer les deux autres matières afin de leur permettre de mieux s'organiser pour composer ces disciplines de base. Cette demande a été rejetée par le Directeur de l'Institut Universitaire de Gestion des Entreprises (IUGE), M. Christophe Wapou. En refusant de composer dans les deux matières de base (gestion stratégique et comptabilité sociale), le conseil de l'établissement a décidé d'attribuer aux 26 étudiants de 3e année de Licence en Gestion la note zéro. L'unique étudiant admis a été obligé d'adresser une requête à l'administration pour demander que son admission soit invalidée parce qu'il estime qu'avec deux zéro dans les matières de base et dans le relevé de notes, la suite de ses études risque d'être compromise.
Depuis la publication du procès verbal des examens, les étudiants de l'Université de Bangui en général et ceux de l'IUGE en particulier s'étonnent de cette sanction extrême que leur a infligée l'administration de cette institution qui évoque le règlement intérieur. Selon certains étudiants, la majorité des professeurs qui dispense les cours à l'IUGE est composée des professeurs vacataires. Ceux-ci fixent la date des examens consensuellement avec les étudiants lorsqu'ils sont convaincus qu'ils ont terminé leur programme de cours. Cette manière de faire est devenue une coutume au sein de l'établissement.
Malheureusement pour cette année, l'administration veut imposer un nouveau régime aux étudiants de l'IUGE. Selon les étudiants, le Directeur de l'IUGE qui passe souvent ses vacances en France, les a obligés à passer leur soutenance de mini mémoire de licence en trois jours. Certains étudiants étaient contraints à soutenir même le dimanche en l'absence de leur directeur de mémoire ou encore de l'assesseur. D'autres par contre ont préféré attendre l'année prochaine pour soutenir leur mini mémoire parce que leur directeur était absent de Bangui.
Le dernier étudiant a passé sa soutenance un dimanche aux environs de 22 heures. Quelques directeurs mécontents ont marqué leur refus de prendre part à une soutenance organisée le dimanche.
Comme dit un adage populaire : « le malheur ne vient jamais seul », immédiatement après qu'ils aient épuisé le calendrier de soutenance, l'administration a demandé aux étudiants de passer les examens bien que les enseignants dispensant les disciplines concernées n'aient pas encore proposé de sujets. Et comme il n'y a jamais deux sans trois, l'administration s'est donnée le plaisir de programmer trois matières dans la même journée.
Les sujets ont été proposés non pas par les professeurs chargés des matières concernées mais, par les enseignants dits permanents. Ayant tenté en vain de convaincre les responsables de l'IUGE sur la nécessité de différer les autres matières, les étudiants ont décidé de ne pas composer la Comptabilité sociale et la gestion stratégique. En guise de sanction, l'administration a décidé de les renvoyer à la deuxième session. Les étudiants ont précisé qu'ils ont entrepris des démarches auprès du rectorat qui leur a déclaré que chaque établissement est souverain dans sa gestion.
Pour les étudiants, cette sanction relève de la mauvaise foi. Car, ont-ils poursuivi, dans des pareils cas, soit on reprogramme les deux matières pour permettre aux étudiants de ne pas gâcher leur avenir. D'autres mauvaises langues estiment que cette pratique consiste à créer des conditions fortuites pour exclure les étudiants afin de créer des opportunités aux établissements privés.
D'aucuns disent qu'il s'agit d'une méthode inventée pour tromper la vigilance des autorités. Sans risque de se tromper, la direction de cette institution voulait faire croire au gouvernement qu'elle gère bien l'établissement et organise les examens dans le délai normal. Or, ce n'est que de la poudre aux yeux.
Les étudiants ont déclaré qu'ils attendent de pieds fermes les résultats de la deuxième session pour voir les actions à envisager. Toutefois l'inquiétude demeure car disent-ils, même si les chargés de cours proposent les sujets, ils ne seront pas là pour la correction. Ce qui représente déjà un danger, car certains étudiants doublants risquent d'être exclus. Cette mesure scélérate a déjà défavorisé certains étudiants qui ont envisagé poursuivre leurs études à l'extérieur parce que la date de la rentrée sera dépassée.
L'Association Nationale des Etudiants Centrafricains (ANECA), saisie tardivement du problème a promis mobiliser tous les étudiants pour soutenir leurs collègues.
Cependant le rectorat estime que les établissements sont autonomes dans leur gestion et que le cas de l'IUGE est tranché à la lumière du règlement intérieur. Le Recteur a précisé qu'il a reçu les étudiants en question mais attend le rapport annuel de la direction de l'établissement pour que des mesures soient prises. Le syndicat des étudiants a indiqué que le rectorat a été bien saisi de l'affaire mais n'a pas voulu dénouer ce contentieux parce que les étudiants ont saisi le ministre de l'Education nationale.
En tout cas, les prochains jours risquent d'être mouvementés sur le campus universitaire qui est déjà en proie à une grève d'avertissement de trois jours des professeurs du supérieur.

Lundi 20 Août 2007
Modeste Jérôme – P.
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Source :
http://www.leconfident.net

mardi 14 août 2007

Finales des écoles fondamentales II de Bangui




Festi’hand 2007
Finales des écoles fondamentales II de Bangui et cérémonie officielle de clôture de la deuxième édition du Festi’hand.



Remise du trophée par M. Patrick Nambéanré,Chargé de Mission à la Primature à Mlle Zita Babango Capitaine du Lycée de Fatima(filles)



Remise du trophée par M. Désiré N’Zanga Kolingba, Ministre de la Jeunesse et des Sports à M. Pamphile Balay. Capitaine du Lycée de Fatima (garçons).



Finales des écoles fondamentales II :
• Chez les filles, le Lycée de Fatima bat le Lycée de Miskine : 11 à 03.
• Chez les garçons, le Lycée de Fatima bat le Lycée B. Boganda : 19 à 17.

La cérémonie officielle de clôture de la 2ième édition a été présidée par Son Excellence M. Désiré N’ZANGA-KOLINGBA, Ministre de la Jeunesse, des Sports, des Arts et de la Culture, assistée de M. Didace SABONE, Président de la FCHB entouré des membres du bureau fédéral et de la ligue de Bangui.


M. Désiré N’Zanga Kolingba prononce le
discours de clôture officielle du Festi’hand 2007


Photo de famille avec les officiels et l’équipe du Lycée de Fatima garçons.

vendredi 10 août 2007

Finales du tournoi la « RENAISSANCE » à M’Baïki





Festi’hand 2007 à M’Baïki
Finales du tournoi la « RENAISSANCE » à M’Baïki, sponsorisées par la société de téléphonie mobile ACELL.




Remise du trophée par M. Désiré N’Zanga Kolingba, Ministre des Sports à Mlle Nancy Capitaine de l’équipe Dauphin (cadette filles)








Remise du trophée par M. Désiré N’Zanga Kolingba, Ministre des Sports à M. Innocent Kafara Capitaine de l’équipe Gracia-Gracia (cadets garçons)



Ce tournoi devrait réunir les villes de M’Baïki, Berbérati et de Carnot. Faute de moyens financiers les villes de Berberati et Carnot n’ont pu faire le déplacement de M’Baïki, elles ont été remplacées par les écoles de handball de Bangui à savoir DAUPHIN (cadettes filles) et GRACIA-GRACIA (cadets garçons).

Finale filles : DAUPHIN bat Les NDOSSI aux tirs au buts 03 à 01. Au temps réglementaire les deux équipes étaient à égalité 08 buts partout.

Finale garçons : GRACIA-GRACIA bat les NDOSSI : 30 à 15.

Devant un public estimé à plus de 5.000 personnes, ces finales ont été présidées par Son Excellence M. Désiré N’ZANGA-KOLINGBA, Ministre de le Jeunesse, des Sports, des Arts et de la Culture ; assisté de M. David DOUI, Préfet de la Lobaye ; de Monsieur le Maire de M’Baïki ; M. Maxime VOGNE, Directeur Commercial et Marketing de A-CELL ; de M. Antime GOUMBA, Chargé de Mission Jeunesse Sports ; de M. Didace SABONE, Président de la FCHB entouré des membres du bureau fédéral et de M. Fidèle MBOSSE, Président et membres du bureau fédéral ainsi que de la Ligue de Handball de la Lobaye.


Les filles en pleine action




M. Maxime Vogné, Directeur Commercial et Marketing de A-CELL remet les cadeaux A-CELL au Capitaine des Ndossi de la Lobaye

mercredi 8 août 2007

BAC 2007 en CENTRAFRIQUE

Bac centrafricain : Les apprentis bacheliers camerounais divisent les autorités de Bangui
(Le Messager 08/08/2007)


Le torchon brûle entre le ministre de l’Education nationale, Charles Armel Doubane et son directeur de cabinet, André Dénamssekété au sujet des candidats camerounais, venus composer dans l’illégalité le Bac centrafricain.

“J’accuse Charles Armel Doubane de tremper dans une affaire qui n’honore pas notre prestigieuse institution ”, dénonce André Dénamssekété, directeur de cabinet (Dircab) au ministère de l’Education nationale, de l’alphabétisation, de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique. Le Dircab, très en colère, rend ainsi littéralement son chef hiérarchique responsable numéro un du calvaire des candidats camerounais venus composer les épreuves du Bac à Berbérati, principale ville de la préfecture de la Mambéré Kadeï, frontalière du Cameroun.
L’effectif de ces jeunes camerounais, friands de parchemins, est toujours matière à débat : 25 selon la direction des examens et concours (Dec), plutôt 27 selon le ministre Doubane, lors d’une conférence de presse organisée le 4 courant, à Bangui. Arrivés à Berbérati, juste à la veille du démarrage du Bac, programmé le 11 juillet 2007, ces élèves de l’Institut Ndi Samba (Cameroun), n’ont réussi à composer que les trois dernières matières. Ceci, après moult tractations. La directrice de la Dec, Mme Giselle Nam, n’a pas compris pourquoi “ ces Camerounais dont les noms ne figurent pas sur la liste des candidats réguliers ” ont pris part aux examens. Son institution avait pourtant donné des instructions fermes relatives au renvoi des candidats camerounais chez eux. Comme réponse, le préfet sortant de la Mambéré-Kadeï, Elie Ouefio, le proviseur du lycée de Berberati, Jean-Sosthène Dengbé et le président du centre d’examen, l’universitaire Silla Sembella ont déclaré, dans un rapport publié le 12 juillet dernier, avoir reçu l’ordre de la part du Dircab de faire composer ces candidats camerounais qui étaient sur le point de rentrer au bercail.

Affaire de gros sous
Acculé, André Denamssekété a décidé de briser le silence pour répondre “ coup par coup ” à toutes les accusations proférées contre sa personne. Dans une note (douze pages) intitulée “ Clarification au sujet des candidats camerounais du centre d’examen de Berberati ”, l’homme tient des propos fracassants à l’égard de son ministre qu’il considère comme responsable de cette cacophonie. “ J’accuse Charles Armel Doubane, ministre de l’Education nationale de tremper dans une affaire qui n’honore pas notre prestigieuse institution ”, souligne le Dircab qui présente, chiffre à l’appui, le montant de l’argent glané auprès des candidats camerounais.
Selon sa révélation, un certain Jean de Dieu Bitomo Akono, convoyeur des élèves camerounais, a déboursé, pour chacun de ses poulains, la somme de 270 000 francs Cfa. Soit 50000 pour le traitement de dossier et 220000 francs pour le suivi et succès de ses compatriotes. Toujours selon le Dircab, le contrat de “ ce marché sous régional de baccalauréat ” a été conclu, depuis février dernier, entre Mme Marie Mimboe, directrice de l’Institut Ndi Samba et le ministre Doubane en marge d’une mission de Cames à Yaoundé. Dans la foulée, le membre du gouvernement aurait également accepté la demande du consul de Centrafrique à Garoua, à savoir: faire composer sur le territoire centrafricain les candidats de cette ville du nord cameroun. “ Ces élèves ont composé dans d’autres centres d’examen des villes de l’Ouest de Centrafrique notamment Bouar, Bokaranga et Carnot ”, soutient Denamssekété.
Charles Armel Doubane indique n’avoir “ à aucun moment empoché le pécule des élèves camerounais”. Mais son Dirbac persiste et signe tout en revenant sur un précédent ayant opposé, il y a un an, le même membre du gouvernement à son ministre délégué, Aurélien Zingas, qui aurait bouffé seul les 15 millions de francs Cfa versés par les candidats camerounais.

Tournure politique
Ce que l’on pourrait qualifier “ affaire des candidats camerounais ” prend une proportion de plus en plus politique. La presse s’en empare et en fait un sujet de grande préoccupation. Si le Dircab agite sans vergogne et sans moindre retenue l’épouvantail de la menace contre son ministre, cadre d’un parti de l’opposition, c’est qu’il n’a peur de rien. Président du Front national démocratique (Fnd), l’une des formations de la mouvance présidentielle, en même temps neveu du président François Bozizé, le Dircab ne va pas par du dos de la cuillère pour dénoncer les présumés accointances de Doubane avec la rébellion, ses agissements contre le régime de Bangui et le ministre des Finances, le lieutenant colonel Sylvain N’Doutingaye. Et ce n’est pas tout, il s’en est également pris au préfet sortant de la Mambéré-Kadeï, Elie Ouefio, un autre parent du chef de l’Etat qu’il accuse de transposer sur le terrain administratif des rivalités qui rongent le clan présidentiel.
Décidemment, les dossiers des candidats camerounais n’en finissent pas de faire couler encre et salive en Centrafrique. Pas plus tard qu’en août 2006, les épreuves du baccalauréat centrafricain ont été organisées dans l’illégalité à l’Institut supérieur d’informatique et de gestion (Isig) de Douala. Cité dans cette affaire, le ministre délégué à l’éducation nationale de l’époque, Aurélien Zingas sera limogé avant d’être nommé conseiller à la présidence de la République.
Pendant que les élèves camerounais attendent leur sort, à Berbérati, Giselle Nam, interrogée sur cette question, a menacé de déposer une plainte en bonne et due forme contre ceux qui sont impliqués dans cette sale affaire.



Par Atchang Atchang
Le 08-08-2007

© Copyright Le Messager

lundi 6 août 2007

COUPE DE L'INDEPENDANCE




Bangui, le 05/08/07


Réf. : 306/FCHB/PDT/07


A : Monsieur le Directeur Général de la RADIO CENTRAFRIQUE.


Objet : Demande d’aide pour diffusion d’un
spot publicitaire relatif aux grandes finales de la Coupe
de l’Indépendance réservée aux jeunes de moins de 20 ans.

Monsieur le Directeur Général,

A l’occasion de la fête nationale de l’Indépendance de notre pays le 13 août prochain, la Fédération Centrafricaine de Handball organise les grandes finales de la COUPE DE L’INDEPENDANCE réservée aux jeunes de moins de 20 ans, le lundi 13 août 2007 sur le terrain de la Maison des jeunes des Castors. Ainsi, j’ai l’honneur de solliciter auprès de haute bienveillance l’aide pour la diffusion d’un spot publicitaire relatif à ces grandes finales.

Ci-jointe la proposition du texte dudit spot publicitaire.

En comptant beaucoup sur l’appui médiatique habituel de la Radio Centrafrique, veuillez agréer Monsieur le Directeur Général, l’expression de mes remerciements anticipés.





Didace SABONE
Le Président.



PROPOSITION DU TEXTE DU SPOT PUBLICITAIRE


Public Banguissois ! Amoureux du handball !
A l’occasion de la fête nationale de l’Indépendance de la RCA

La Fédération Centrafricaine de Handball

Organise

Le Lundi, 13 août 2007 à la Maison des jeunes des Castors

Les grandes finales de la

COUPE DE L’INDEPENDANCE
Réservée aux jeunes filles et garçons de moins 20 ans

Avec deux belles affiches à ne pas manquer :


Chez les cadettes filles, à 07h30 :
DAUPHIN(de miskine) # HANDBALL CLUB DE BIMBO

Chez les juniors garçons à 08h45 : grand duel entre
ACADEMIA(de Ben-zvi) et DAUPHIN(de miskine)


Des nombreux jeux concours sur le VIH-SIDA seront animés par PSI et 100% jeunes.

Venez ! Venez très nombreux le lundi 13 août 2007 à la Maison des jeunes des Castors découvrir les pépinières du handball centrafricain de demain !

vendredi 3 août 2007

COUPE DE L’INDEPENDANCE de handball


03/08/07






Handball


Suite et fin le jeudi dernier au CNJS, des 1/2 finales de la COUPE DE L’INDEPENDANCE de handball :

- Chez les cadettes filles :

Handball Club de Bimbo a eu raison de VESOS (Village d’Enfants SOS de GBangouma) au tir aux buts : 03 à 02 ( au temps réglementaire les deux équipes étaient à égalité 02 buts partout).

DAUPHIN a fait l’essentiel devant TNG ACADEMIA (de ben-zvi) : 03 à 01.

- Chez les juniors garçons :

TNG ACADEMIA a éliminé GRACIA-GRACIA(des 92 logements) : 13 à 11.

DAUPHIN(de Miskine) s’est imposé devant AS St-SAUVEUR (de Sica II) : 31 à 27

Les finales seront disputées le lundi, 13 août 2007 sur le terrain de handball de la maison des jeunes des Castors, à l’occasion de la fête nationale de l’Indépendance de notre pays. A l’affiche :

Chez les cadettes filles à 07h30 : DAUPHIN # HANDBALL CLUB DE BIMBO

Chez les juniors garçons à 08h30 : TNG ACADEMIA(de Ben-zvi) # DAUPHIN(de miskine)

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MATCH AMICAL
Le terrain de handball de la Maison des Jeunes des Castors va accueillir ce dimanche 05 août 2007 à partir 15H00, un match amical de handball des seniors messieurs entre : AS COBRA et AS SAINT-SAUVEUR.

Ce match amical s’inscrit dans le cadre des préparatifs des prochaines éliminatoires de la Coupe de Centrafrique de handball qui débuteront le 30 août 2007.

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COUPE PROMO-HAND VACANCES
( Pour les enfants de 7 à 10 ans )

Une importante réunion de travail aura lieu ce dimanche 05/08/2007 à partir 15h00 à la Maison des jeunes des Castors en vu du démarrage de la Coupe dénommée « COUPE PROMO-HAND VACANCES » réservée exclusivement aux filles et garçons de 7 à 10 ans.

Cette réunion regroupera tous les Responsables des Ecoles de handball de Bangui, Bimbo et Toungoufara. Toute personne désireuse de créer une école de handball pour prendre part à cette compétition est la bienvenue à cette séance de travail.


Assemblée Générale Elective de la Ligue de Bangui de Handball

L’Assemblée Générale Elective de la Ligue de Bangui de Handball est convoquée pour le Dimanche 19 août 2007 à partir de 08h30 à l’Amphithéâtre de L’IUGE.

Six(6) postes sont à pourvoir. Il s’agit des postes de : Président ; Vice Président ; Secrétaire Général ; Secrétaire Général Adjoint ; Trésorier Général ; Trésorier Général Adjoint.

Les dossiers de candidature doivent comporter : une demande manuscrite, un CV ainsi que les frais de dossier qui s’élèvent à 2.000 francs CFA par poste.

La date de clôture des dépôts des candidatures est fixée au mercredi, 15 août 2007 à 18h00. Les candidatures doivent être déposées auprès du Secrétaire Général de la Fédération Centrafricaine de Handball.

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Eliminatoires de la Coupe de Centrafrique de handball édition 2007

Les éliminatoires de la COUPE DE CENTRAFRIQUE DE HANDBALL EDITION 2007 (en seniors dames et messieurs) débuteront le jeudi 30 août 2007 et les finales seront disputées le Dimanche 11 novembre 2007.

Les écoles de handball désireuses de s’engager à ses éliminatoires, sont priées d’accomplir avant le 30 août 2007, les formalités administratives obligatoires à la participation aux compétitions des seniors : frais d’affiliation, frais d’engagement et les licences.

Membres